Punir un enfant
Je sais que de nombreux pères et mères de famille désireux d'améliorer l'éducation de leurs enfants lisent régulièrement ce blog et c'est pourquoi je m'attarde aujourd'hui sur un sujet délicat
avec l'audace et la prétention de piétiner les idées reçues et lâches de l'empire de la pédagogie.
Mon œuvre aurait pu se suffire à la rédaction géniale de cette phrase mythique, mais mon esprit travailleur et tenace ira jusqu'au bout de son idée.
Faut-il punir un enfant ? Pour quel motif ? Comment ? Seul ? Où se procurer des ustensiles nécessaires ?
Oui il le faut, et il n'est pas envisageable pour l'équilibre de l'enfant qu'il en soit autrement.
Le véritable débat s'orientera donc plutôt sur les degrés de la punition.
La réponse existe.
Il faut faire mal.
Mal, pour que l'enfant se rende compte, mal pour que l'enfant se souvienne ; lorsqu'un rescapé de la guerre d'Algérie observe ses blessures, il sait lors de quelle bataille cela a eu lieux et dans quelle circonstance ; vous m'avez donc compris...
Enfant malhonnête, tu sera châtié violemment par l'hotorité innébranlabre de tes parents.
Et plus tard, une fois le châtié devenu lui même adulte, il montrera à ses enfants en guise de prévention son oeil manquant et leurs dira : "vous voyez mes petits, ça c'est mon père qui me l'a fait parce que j'étais dissipé en classe".
Est-il permis de penser le contraire ? Dans un monde où le laxisme éducatif parental est roi ? NON !
Il vous est permis, parents, de punir votre enfant à deux, car pour certains morphotypes d'enfants, il sera difficile de le maîtriser.
Point de trop vous serez de deux.
Munissez vous également d'outils de bricolage, tournevis, ponceuse, disqueuse... pour impressionner bien sur, pour menacer ensuite, et pour châtier enfin.
Il est important d'être vigilant quand aux limites physiques de l'enfant. En effet le bambin n'est pas immortel et une méthode punitive trop muscler pourrait être fatale à votre progéniture. Ce serait coquin de perdre votre gosse parce qu'il n'avait pas fini sa purée et que vous lui avez arraché la pomme d'adam.
Soyez donc sévère chers amis parents soyez solides et strictes et vos enfants vous en remercierons.
Au revoir
J.L.L
Mon œuvre aurait pu se suffire à la rédaction géniale de cette phrase mythique, mais mon esprit travailleur et tenace ira jusqu'au bout de son idée.
Faut-il punir un enfant ? Pour quel motif ? Comment ? Seul ? Où se procurer des ustensiles nécessaires ?
Oui il le faut, et il n'est pas envisageable pour l'équilibre de l'enfant qu'il en soit autrement.
Le véritable débat s'orientera donc plutôt sur les degrés de la punition.
La réponse existe.
Il faut faire mal.
Mal, pour que l'enfant se rende compte, mal pour que l'enfant se souvienne ; lorsqu'un rescapé de la guerre d'Algérie observe ses blessures, il sait lors de quelle bataille cela a eu lieux et dans quelle circonstance ; vous m'avez donc compris...
Enfant malhonnête, tu sera châtié violemment par l'hotorité innébranlabre de tes parents.
Et plus tard, une fois le châtié devenu lui même adulte, il montrera à ses enfants en guise de prévention son oeil manquant et leurs dira : "vous voyez mes petits, ça c'est mon père qui me l'a fait parce que j'étais dissipé en classe".
Est-il permis de penser le contraire ? Dans un monde où le laxisme éducatif parental est roi ? NON !
Il vous est permis, parents, de punir votre enfant à deux, car pour certains morphotypes d'enfants, il sera difficile de le maîtriser.
Point de trop vous serez de deux.
Munissez vous également d'outils de bricolage, tournevis, ponceuse, disqueuse... pour impressionner bien sur, pour menacer ensuite, et pour châtier enfin.
Il est important d'être vigilant quand aux limites physiques de l'enfant. En effet le bambin n'est pas immortel et une méthode punitive trop muscler pourrait être fatale à votre progéniture. Ce serait coquin de perdre votre gosse parce qu'il n'avait pas fini sa purée et que vous lui avez arraché la pomme d'adam.
Soyez donc sévère chers amis parents soyez solides et strictes et vos enfants vous en remercierons.
Au revoir
J.L.L